La dalle de béton est coulée dans la partie du bâtiment où se fera le déchargement et la reprise du foin. Les autres parties (cellules de séchage) recevront un revêtement goudronné, par économie.
L'ensemble est prêt à recevoir la charpente.
Sécher le foin à l'intérieur d'un bâtiment permet de préserver ses qualités nutritives : l'exposition prolongée au soleil nuit à la conservation des vitamines, et la multiplicité des opérations de fanage abîme les plantes à feuilles comme la luzerne, que nous cultivons comme fourrage de prédilection pour nos vaches laitières. De plus, le foin ayant besoin de rester beaucoup moins longtemps dehors après la fauche, il suffit d'un intervalle plus réduit de beau temps pour le récolter, ce qui est un avantage important pour les moines qui ne sont pas des agriculteurs à plein temps et doivent aussi pouvoir observer les jours de fête liturgique.
L'air chaud est collecté sous le toit en bac acier de la grange de séchage par une puissante soufflerie qui lui fait ensuite traverser le foin, réparti dans des cellules de séchage. Le foin une fois sec peut se conserver longtemps, il reste vert et très appétent pour les animaux.
Les travaux en sont au stade des fondations. L'entreprise pose les longrines qui soutiendront la charpente du bâtiment.
La sainte Mère Église, après avoir pris soin de célébrer par les louanges qui conviennent tous ceux de ses enfants qui se réjouissent déjà au Ciel, s'occupe juste après d'aider par ses prières instantes auprès du Christ, son Seigneur et son Époux, tous ceux qui gémissent encore au Purgatoire, afin qu'ils puissent au plus tôt parvenir à la société des bienheureux. (Martyrologe)
Vous pouvez retrouver ici l'homélie prononcée par le Père Abbé.
L'Église universelle fête en ce jour tous ses enfants, officiellement canonisés ou non, qui sont parvenus avec le Christ à la gloire éternelle, et nous ont ouvert la voie par leur exemple ici-bas.
Vous pouvez retrouver ici l'homélie prononcée par le Père Abbé.
Les toits sont nombreux et vastes au-dessus d'un ensemble aussi important que celui de l'Abbaye ; aussi les couvreurs sont-ils fréquemment à l'œuvre sur l'un ou l'autre bâtiment.
Cette année, nous les aurons vus pendant plus de huit mois d'affilée pour la réfection de plus de 1300 m² de toiture sur le bâtiment du réfectoire des moines et sur le bâtiment "Andrieu", du nom du Prieur qui restaura l'observance et le temporel de l'Abbaye à la fin du XVIIe siècle.
Le chantier est toujours en cours et ne s'achèvera qu'avec l'année civile, voire au début de 2024.
L'Abbaye fête en ce jour l'anniversaire de la dédicace de l'église abbatiale en 1091.
Vous pouvez retrouver ici l'homélie prononcée par le Père Abbé.
Le samedi 9 septembre 2023, l'Abbaye organisait une journée festive pour commémorer les 75 ans de la restauration de l'Abbaye par les moines venus de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.
Cet événement, qui rassemblait plus de 700 invités, a débuté par la Messe pontificale célébrée par le Père Abbé Dom Jean Pateau. Le Père Augustin Pic, o.p., nous a fait l'amitié d'assurer la prédication (texte de l'homélie).
Un buffet était ensuite servi dans la cour de l'hôtellerie, permettant de nombreuses rencontres ou retrouvailles.
Christophe Geffroy a bien voulu donner, à deux voix avec sa fille Élisabeth, une passionnante conférence intitulée "Chrétiens dans un monde qui ne l'est plus" (texte de la conférence). Nous vous invitons à les retrouver dans La Nef.